Journée ordinaire

Une journée si bien commencée, mérite elle de finir tout aussi bien?

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Une jeune fille à l'apparence identique à celle de sa soeur, trainait dans les rues de Fujika. L'endroit était bondé de monde pour cause de vacances, et les rues peut pratiquables pour cette jeune fille en roller. Ses cheveux noirs parsemés de mèches blanches flottaient dans le vent faisant se retourner deux ou trois jeunes sur son passage. Cette fille avait aujourd'hui, mit une jupe écossaise rouge et noir, ainsi qu'une chemise blanche, et par dessus, un corset noir aux fantaisies argentées-blanches, elle portait un sac en bandoulière, dedans devait être ces chaussures et ses loose schocks. Ces roller martelaient le sol a chaque fois quelle désirait aller plus, elle donna un coup plus puissant que les autres sur le sol de béton, les passants s'écartant sur son passage, elle mit sa main sur un poteau et vola quelques milisecondes dans les airs pour tourner à un angle. Rider est une fille qui adore la vitesse, aussi elle trouve que le vent est très approprié pour gagner en vitesse. Seulement là, il n'y en a pas .. Dommage Rider-chan. Aussi appelée Laida, car ceci est la prononciation japonaise de Rider, la jeune fille se déplaca de plus en plus vite, ne regardant ni derrière elle, ni sur les cotés. Elle joint ses mains dans son dos, en chantant une chanson quelque peu débile: Caramelldansen son trip du moment. Puis elle ferma les yeux et se retourna toujours en chantant...toujours en "roulant", elle ouvrit les bras, chantant plus fort avec un sourire sur les lèvres, ne faisant gaffe à ceux qui se trouvaient là. Ceux qui la regardaient, ceux qui l'admiraient, ou tout simplement ceux qui critiquaient. Le tout étant de la jalousie, donc de l'admiration.. Car il faut avoir un certain courage pour pouvoir chanter comme ça en pleine rue. Sans se soucier de ceux qui se trouve a côté de vous. Le côté positif, c'est que Rider a une belle voix, enseuite, elle ne manque pas de courage et possède un certain culot que seul les membres de la famille Osaki possède. Elle continua donc sa route chantant de sa voix mi-grave mi-aigue tournant sur la route qui continuait en ligne droite ne se souciant guère de ce monde critiqueur dans lequel elle était tombée. Puis elle cogna une personne qui par reflexe la prit dans ses bras.. Elle fronca quelque peu les sourcils après avoir laissée sa mine d'incompréhension et de surprise de côté, elle s'enleva dans bras de l'homme qu'elle avait percutée, et lui lanca un regard impassible, elle dit un bref désolé et tenta de continuer sa route..Si l'homme en question voulait bien la laisser passer bien sûr