Les tourments d'un blessé

Flash Back:

Se soir là, dans la Soul Society, la lune était particulièrement ronde, et du couleur laiteuse, se détachant du ciel obscur, qui était décorer de dizaines d'étoiles scintillantes. Une brise douce, soufflait, faisant voler quelques fleurs au gré de se vent, tandis qu'il caressait en même temps les visages des personnes qui était dehors, envoyant une sensation de fraicheur. En cette nuit magnifiquement belle, une température plutôt froide régnait, et l'atmosphère, était particulièrement gênante, a savoir pourquoi...
Le pourquoi du comment, était tout simplement dans la demeure de la grande famille des nobles: Les Kuchiki. Oui, dans cette magnifique demeure, au décoration abondantes, a parquet vernis, et au toit en bois peint en rouge, que quelque chose, qui rendait même le ciel triste se passait.

C'était dans une salle, plutôt petite pour la taille que faisait la demeure. Elle était faite que de bois clair, donnant une allures chaleureuse au lieu. Des dessins et des tableaux, orné les murs de la pièce, tandis qu'un grande table basse, prenait beaucoup de place. Sur un côté de cette salle, un matelas était poser sur le sol... Dessus, se trouvait une jeune femme. Elle avait des cheveux noir de geais, qui lui tomber jusqu'à la nuque. Son visage, était d'une grande beauté, malgré sa pâleur effrayante. Elle avait des yeux noir profond, un nez et une bouche fine, des oreilles parfaites, des joues, ni trop joufflue, ni trop peu. Son corps, était fin, et élégant. Une poitrine de taille moyenne, des hanches sans aucun défaut visible, des bras un peu frêle, et des mains, d'une allure aussi pâle que le visage. Bref, elle était magnifique...
Le front de la jeune femme, était dégoulinant de transpiration. Sa respiration, était saccadé. Tout ses signes, ainsi que sa pâleur inhabituel, prouvait bien, que la jeune femme n'allait pas bien. Pas bien du tout...
En effet, elle avait quelque chose de grave. Une maladie, pour être plus précis. Oui, elle était très malade, atteinte de quelque chose de mortel. Et, se soir, c'était le moment où la maladie prenait vraiment l'aspect de mortel. La jeune femme était souffrante, toussant bruyamment, et agonisant silencieusement. On pouvait déceler, rien qu'en la regardant, une douleur atroce. C'était un spectacle, disons, déprimant.

La jeune femme, avait la main prise par un homme. Il la tenait fermement, comme si c'était pour qu'elle ne parte pas. Il était habiller d'un par-dessus de couleur grise, ou l'emblème des Kuchiki était gravé. En dessous, il porter sa tenue de shinigami, mais n'avait point son zanpakutô sur lui. Il avait un visage livide, et plutôt froid et calme, malgré la situation. On pouvait, malgré sa, qu'il dégageait une grande tristesse. Il avait de grands yeux noirs profonds, qui était, d'habitude inexpressif, mais aujourd'hui, tremblant. Ces cheveux, étaient eux aussi, noir. Ils étaient coiffés par des Kenseikans, signe des nobles.

Si vous ne l'aviez pas comprit, ses deux personnages, sont Sire Byakuya Kuchiki, et Dame Hisana. C'était se soir là, que Hisana allait mourir, succombant a la maladie...

-Seigneur Byakuya... je vous en prie... Retrouvez ma sœur. Et si vous la retrouvez... je vous supplie de ne pas lui dire que je suis sa sœur. Je voudrais seulement que... sans rien lui dire, de toutes vos forces... vous la protégiez. Je l'ai abandonné, donc je ne suis pas digne d'être sa sœur. C'est pour cela, que j'aimerais que... vous la laissiez vous appeler son frère...

Hisana, prononça ses paroles, avec grande difficulté, toussotant entre chaque phrases. Sa maladie, devenait de plus en plus douloureuse, et le temps pour que la vie de la jeune femme quitte son corps, était infime. Elle rouvrit la bouche, et chuchota doucement, manquant de force pour hausser la voie:

-Pardonnez moi cet ultime caprice de ma part, même dans ces derniers instants. Et pardonnez moi aussi... de ne pas avoir su vous rendre l'amour que vous me portiez.

Elle fut interrompu, par une toux longue. La mort était tout près...

-Les cinq années que j'ai passé avec vous... furent comme un rêve... Seigneur Byakuya.

Et, c'est en prononçant ses paroles, que la main d'Hisana perdit toute pression, comme tout les membres de son corps; que ses yeux s'immobilisèrent, et que sa tête tomba sur le coté. Elle était morte...

Byakuya regarda le corps de sa bien-aimé, qui était désormais sans vie. Elle était morte. Vraiment morte! Il n'arrivait pas a se mettre cette idée immédiatement. Il restait immobile, regardant son épouse défunte. Il n'essayait pas de s'imaginer son avenir de veuf, un avenir sans la personne qu'il chérissait le plus. Son regard vague, exprimait la tristesse. Il aurait voulu crier, mais il ne pouvait pas faire cela dans la demeure des Kuchiki. Normalement, il était froid et inexpressif, mais aujourd'hui, jamais il ne s'était sentit aussi triste. Hisana, venait de mourir sous ses yeux, sans qu'il put rien faire. Tout sa s'était passer trop vite... Il s'écroula sur le corps de sa bien-aimé, et chuchota:

-Je vous le promet... Je retrouverait votre sœur et la protègerait

Fin du Flash Back

Byakuya, se reveilla en sursaut. Enfin, sursaut est un bien grand mot. Il se leva, doucement, ayant une seule goutte de sueur sur le front. Sa respiration, presque normal, éxprimé un dérangement, et ses yeux noirs, scrutait doucement la pièce ou il se trouvait, comme si il cherchait quelqu'un. Pour être plus précis, il chercha pendant un moment quelque chose qu'il aurait pu prendre pour Hisana. Il avait du mal a réaliser que cela ses passer cinquante ans de cela. Le rêve, avait été si dense, si réel, qu'il l'avait prit pour la réalité.

Byakuya, resta immobile quelques minutes, pour se remettre de ses émotions. Enfin, quelqu'un n'ayant pas un instinct développé, ainsi que des yeux de lynx, n'aurait surement pas remarquer que Byakuya s'était levé en sursaut, et aurait encore moins déceler le fait qu'il ressente des émotions assez bouleversantes. En tout cas, le premier réflèxe de Byakuya, fut d'examiner la pièce, malgré le fait qu'il y est déjà passer une semaine. En effet, il s'était écouler une semaine, entre la désertion d'Aizen, et maintenant. Depuis, Byakuya se trouvait dans une chambre de la Quatrième division, pour qu'il se remette de ses blessures.

Byakuya, se trouvait dans une pièce plutôt spacieuse, mais peu équipé. Il y avait une grande fenêtre, qui donnait une vue plutôt belle du Sereitei, ou juste a coté, se trouvait le lit ou il était allongeait. a coté de se même lit, il y avait une table de nuit, ou ses Kenseikans était posé, mais aussi un verre d'eau. Il y avait une porte blanche a l'autre bout de la pièce. Byakuya, était habiller d'un simple uniforme bleu. Ses cheveux, était détacher de ses Kensenkans, et donc, ils étaient un peu plus longs. Bref, Byakuya n'était pas dans la meilleur de ses formes, et encore moins dans son plus bel habit.

Byakuya, regarde la vue que lui offrait la fenêtre. Il regardait le Sereitei se réveiller. Il devait être dix heures du matin, et les shinigamis commençaient leurs taches. Cela lui mettait comme un doux baume au coeur, voyant le Seretei, éclairé sous le soleil, se mettre en action. Le ciel, était d'un bleu azur sans nuages, et le soleil brillait fort. Cela promettait d'être une journée météorologique parfaite, étant donner que la température était plus douce qu'on pouvait penser, en voyant le soleil brillait de mille feu.

Byakuya, souleva sa chemise bleu de patient, et regarda son abdomen, coté gauche. Une blessur, assez large, avait cicatriser. C'était celle qui avait été provoqué par l'attaque de Gin Ichimaru, qui avait tenté de tuer Rukia. Byakuya s'était interposer, et avait encaisser le coup. La quatrième division, avait bien fait son boulot, car il ne sentait plus la douleur atroce qu'il sentait il y a quelques jours.

Byakuya, entendit un bruit. Il venait de la poignet de la porte, qui se tournait doucement, puis la porte s'ouvrit...

Kuchiki Byakuya sama, vingt huitième chef d’une des quatre maisons nobles du Seireitei. Normalement le soigner à la quatrième division ou qu’il soit simplement dans ses murs requiert des règles spéciales de comportement des shinigamis ainsi qu’un menu spécial et des attentions particulières dûes a son rang, mais pour n’importe quel capitaine ou membre de famille noble il en était ainsi. Seulement la division des soins avait été un tel chaos avec l’invasion des ryokas puis la trahison d’Aizen qu’il avait été impossible de mettre en place tout cela. Le capitaine de ma sixième division se retrouvait donc dans une chambre simple, seul, mais c’était le mieux qu’ils pouvaient faire les chambres spacieuses réservées aux capitaines avaient été changées en dortoir pour accueillir encore plus de monde ; au grand dam d’Iemura Yasochika, troisième siège de la division des soins qui semblait perdre le peu de raison qu’il avait.

Mais avoir presque une division entière à soigner pouvait faire perdre la raison à pas mal de monde, plus ou moins la quasi-totalité des subordonnés d’Isane. Tout le monde aurait droit a un peu de saké une fois tous les patients retournés a leur division d’origine. Il fallait féliciter le travail bien fait et les missions accomplies, surtout celle de longue durée.

Isane pour sa part entamait sa quarante-huitième heure sans repos, merci aux pilules énergétiques qu’elle avait amélioré, en diminuant le dosage d’excitants pour permettre des périodes de micro repos et ainsi faire durer le plus possible les temps d’éveil. Elle était partie pour encore trois jours sans repos de plus de trente minutes. Cela ne dérangeait pas la vice capitaine le travail devait être fait et elle se devait de supporter au mieux ses subordonnés. C’etait juste un peu longuet …

Rassemblant sa concentration elle partit faire sa première inspection de malades, a savoir les capitaines et les vices capitaines qui avaient été les plus blessés, physiquement autant que mentalement, ensuite seulement les autres. Parmi eux il y avait le capitaine de la sixième division Kuchiki Byakuya sama qui avait eu ses deux types de blessures et même si son corps se remettait lentement c’était son esprit qui était le plus touché. Isane le savait et le capitaine pouvait bien monter ses défenses et son mépris au plus haut il ne pouvait pas lui mentir a elle ou a sa capitaine.

Elle donna un petit coup a la porte avant d’ouvrir, elle ne demandait pas l’autorisation d’entrer au cas où le patient dormirai de plus elle ne pouvait se permettre de perdre du temps. Le matin était déjà bien avancé aussi ce ne fut pas une surprise lorsqu’elle le vit réveillé et levé cherchant un kimono supérieur pour se vêtir. Heureusement elle venait d’apporter un portant ainsi qu’un rechange.

- Capitaine de la sixième division Kuchiki Byakuya sama, je suis venue vérifier la cicatrisation de vos blessures veuillez vous asseoir.

Elle essayait et luttait intérieurement pour calmer les battements de son cœur et son endormissement…paradoxal n’est ce pas ?

Byakuya, regarda fixement la porte, n'ayant rien d'autre a regarder d'intéressant. Il s'attendait, comme il était habituer, a la visite d'un membre de la quatrième division, lui apportant soit un repas, soit des habits. Mais aussi, il faisait, trois fois par jour, la vérification de ses cicatrice, pour voir si cela avancer dans le positive. En fait, Byakuya était disons, vexé. En effet, le traitement qu'on lui administrer, était ceux d'un shinigami normal. Etant chef de la famille noble des Kuchiki, il aurait désirer un traitement bien plus élaborer, et bien plus luxueux, mais il savait, que c'est temps était difficile. Bon nombre de shinigamis avait été blessé, par Ichigo et sa bande de Ryoka, mais aussi, par Aizen et ses deux partenaires, traitres et capitaines: Ichimaru Gin et Tousen Kaname.

Kuchiki Byakuya, se renouvela en quelques secondes, les évènement de ses dernières semaines. Fatigant. C'était le mot qui convenait le mieux a ses souvenirs récent. Il a suffit, qu'une bande de ryôkas débarque comme si de rien n'était, et mettent le désordre dans la Soul Society. Cela devait faire des décennies, que personne n'avait fait un telle scandale. Et, Aizen, se rajouta a la partie, causant des dêgats, eux aussi, important. Trois capitaines, dont Byakuya, avait été blesser mortellement a cause de la révolte des trois capitaines traitres. Et, deux lieutenant, s'était fait eux aussi, blesser par Aizen.

Le chef de la famille des Kuchiki, ressentait de la jalousie envers Aizen. Il avait réussi a battre en quelques secondes, le ryôka, qui avait battu deux capitaines, dont Byakuya. Le pire, était que Ichigo, qui était bien sur le ryôka concernait, n'eut pas le plaisir de pouvoir toucher Aizen, même en combinant ses attaques avec Renji Abarai. Bref, le niveau de Aizen, dépasserait largement ceux des capitaines, et serait surement égale ou supérieur a celui de Shigekuni Yamamoto Genryusai, capitaine de la 1ère division, et commandant des armées de la cour de la Soul Society.

Après s'être remémorer tout se moments, la personne qui avait toquer puis entré dans sa chambre l'avait extirpé de ses pensées.

- Capitaine de la sixième division Kuchiki Byakuya sama, je suis venue vérifier la cicatrisation de vos blessures veuillez vous assoir.

Byakuya, regarda quelques secondes sont interlocuteur. C'était Kotetsu Isane, lieutenant de la quatrième division, qui était venu le voir. D'habitude, ce n'était même pas un siège. Byakuya, se réjouis intérieurement, de pouvoir enfin bénéficier d'un soin digne de sa personne.

Il regarda la jeune shinigami. Elle était plus mignonne. Elle avait des cheveux mi-longs décoiffés, de couleur argenté. La shinigami, avait des yeux bleu profond, d'un sombre envoutant. A l'extrémité sur une mèches de ses cheveux, tout près de son œil droit, il y avait deux fils assez longs.

Elle avait l'air peu sur d'elle, devant le capitaine de la sixième division. Elle tremblait un peu. Byakuya ne fut pas étonner. Sa présence provoquer souvent se genre d'effets, et cela ne lui déplaisait pas, de savoir qu'il dégageait une aura de supériorité.

Byakuya, ne s'attarda pas. Il s'assit sur son lit, et retira sa chemise de patient de l'hôpital de la quatrième division. On pouvait voir sur son corps, plusieurs cicatrice, du au multiples combat qu'il a menés. Malgré cela, son corps resté assez charismatique, mais il n'atteignait pas la masse de muscles qu'avait son lieutenant, Renji Abaraï.

Il fixa Kotetsu Isane, et prononça de sa voix glaciale.

-Quand est ce que je pourrait m'en aller ? J'ai certaines priorités, et je ne voit pas l'intérêt de rester clôturer. Mes blessures ont cicatriser depuis longtemps...

(Peu d'inspiration sur se coup-là, excuse moi :S)